Soin EPILACTION

Nouvelle technologie d’élimination des poils, indolore, ultra rapide, tout type de peau et toute saison !

Fini la douleur du tir à l’élastique, les semaines sans s’exposer au soleil pour éviter les risques de brûlure ou l’épilation sur les peaux claires uniquement. Grace à la technologie de lumière pulsée EPILACTION, l’élimination définitive des poils est aujourd’hui accessible à tout le monde : hommes ou femmes, sur peau claire ou peau foncée, en hiver ou en été.

Grace au système de flash en continue (« in motion » ou SHR ou balayage) la nouvelle technologie EPILACTION propose une élimination des poils quasi indolore, sur tout type de peau (même les phototypes 5 et 6) et en toute saison (oui vous pouvez vous épiler toute l’année même en été !!)

Comment ça marche ?

La réussite du système repose sur un échauffement progressif et contrôlé. Au lieu d’un flash de forte puissance, douloureux pour le client, long et laborieux pour le praticien (comme les appareils que l’on trouvait jusqu à présent sur le marché et qui interdisaient l’épilation sur des peaux foncées).
L’EPILACTION propose un fort taux de répétition de pulses (une rafale de flashs de puissance moyenne élevée) qui contribue à affaiblir le poil, le faire tomber et l’éliminer définitivement, sans jamais chauffer la peau ou causer de désagréments. Cette nouvelle technologie est une véritable révolution car il elle élimine toutes les contraintes liées aux appareils de lumière pulsée traditionnels.
La séance d‘épilation n’est plus du tout douloureuse, elle est ultra rapide (exemple l’épilation des aisselles se fait en 3 minutes seulement), elle peut s’effectuer sur les peaux foncées (même les phototypes 5 et 6) et peut se faire même en été (car désormais l’éviction solaire n’est que d’ une semaine avant la séance).

Explication

Le système pileux est constitué de cellules germinatives concentrées dans un réservoir, appelé « bulge », programmé pour fabriquer des poils tout au long de la vie. La racine du poil est appelée le « bulbe ».

Le cycle de vie du poil :

Les poils en phase anagène sont les cibles en épilation définitive. Environ 20% des poils sont détruits à chaque séance. Plusieurs séances sont nécessaires pour arriver à détruire 80 à 90% des poils. Ne fonctionne pas sur les poils clairs ou blancs. Sur les poils châtains il faudra éventuellement augmenter la fluence et le nombre de séances.

La peau

Rasage 24 à 48 h avant la séance n’importe quelle méthode de rasage (tondeuse sans sabot). Toute peau mal préparée risque d’entrainer un échec de la séance. Pourquoi ne faut-il pas s’épiler à la cire, pince à épiler ou épilateur électrique ? Ces systèmes arrachent le bulbe. Si le poil est arraché, la lumière ne détectera pas sa cible (bulbe) et ne sera pas efficace.

Le bronzage

Fini les semaines sans s exposer parce qu’on devait se faire épiler! Grâce à la nouvelle technologie d’élimination des poils « In Motion », il ne suffit que de deux semaines sans bronzage actif sur la zone à traiter avant et après la séance.

Le bouleversement hormonal

Il est toujours possible que sous l’influence de facteurs divers, hormonaux notamment, des duvets adjacents aux poils détruits deviennent plus épais et foncent. Cela peut faire suite à une grossesse, un changement de stérilet ou de pilule, la ménopause, etc. Dans le cas d’un problème hormonal connu ou détecté lors de la consultation, il est préconisé de consulter au préalable un médecin.

Durée et intervalles des séances

Les 3 premières séances font disparaître environ 50% des poils. Elles doivent être espacées de 4 semaines. A l’issue des 3 premières séances, le rythme des séances sera de 1 à 3 mois, en fonction des repousses. Le nombre de séances peut varier de 6 à 10 séances (parfois 12 chez les hommes) d’une personne à l’ autre. Il est fonction de très nombreux facteurs : localisation, phototype, couleur et densité des poils.

Ce nombre de séances ci-dessus permet d’éliminer environ 80% des poils. Pour une élimination des poils complémentaire lorsque certains poils repoussent, il faut envisager de faire des séances d’entretien (1 à 3 séances par an pendant les premières années qui suivent le traitement).